22/11/2010

DUBLIN ou le retour

Un pote  m'envoyait un message l'autre jour m'induisant que je devais veillez à agrémenter un peu plus mon blog, un autre message beaucoup plus direct, venant d'une autorité indiscutable me reprochait la pauvreté de mon blog, son contenus ainsi que sa forme, bourrée de fautes d'orthographe. En ce retour d'un trip à Dublin avec Suzy la Sieste, Pauline dite Bon Public et bien sûr le partenaire Fred a.k.a Mr Glue, je pense qu'il y a là une bonne occasion de donner un peu plus de news à ceux ou celles qui liront ces lignes. Ne soyons pas pesant.
4jours et 3 nuits à Dublin capitale irlandaise et centre mondiale de la Guiness que j'arrive toujours pas à apprécier. Autant vous dire qu'il est difficile de faire un pas dans le centre de Dublin sans se retrouver devant une enseigne relative à la bière brune. Passons.
Grande ville assurément pour l'avoir apprécier du haut de l'ancienne usine Guiness redécorée en musée et centre commerciale pour afficionados de la brunâtre en tout genre, Dublin n'en demeure pas moins irlandaise jusqu'au bout des doigts avec ces rues bourrées de pubs et de restaurant ( parfois les deux en même temps), ces ivrognes quinquagénaires titubant aux bras de leurs pervenches, ces fenêtres fleuris, ces murs en briques...etc etc.
3 nuits dans une auberge de jeunesse "The Bunk House" à cohabiter avec des brésiliens forts sympathiques et surtout très silencieux ( Raf n'aime pas qu'on le reveille), à déambuler de rues en rues pour trouver un endroit sympathique. Pas très difficile dans le Temple Bar, quartier central de la vie du dubliner. 4 jours à admirer et apprécier les parcs, les coffee-shop, les restaurants...etc mais surtout toute l'originalité que peuvent trouver quatre français dans ce qui se passe autour d'eux.
Un bruit technoïde signalant le passage au vert pour les piétons, une église fermé il y a soixante ans conservée et réamménagée en restaurant, salon de thé, bar, club. Un type déguisé en Leprechaun qui agite son bras toute la journée. La statue d'Oscar Wilde sous une bâche. Un Carravage au musée national de l'Irlande. Des canards multicolors....Les listes sont toujours un peu foireuses je m'en excuse.
Tout est fantasmé en étant touriste,étranger et néophyte. Ça valait le coup. Bon même si on s'est fait entubé au niveau du Irish Breakfast, on en gardera en bon souvenir. Tous ces concerts gratuits et chaleureux, ces gens croisés, ces kilomètres marchés, ces ampoules au pied ( Raf avait eut la bonne idée de passer une journée de marche en chaussures de soirée), on garde tout, on en jette plus.
Mais il est temps pour moi de repartir à mes essays et autres assignements. Bonjour chez vous

PS: Toujours aussi dégouter d'avoir loupé, pour la seconde fois, The Gaslight Anthem, si prés du but....une prochaine fois.Ah oui parce qu'en fait c'était plus ou moins pour ça que je projetais d'aller visiter Dublin mais c'est la vie, c'est ma faute, je n'avais qu'à ne pas être dans la procrastination. Une autre leçon. Décidément j'apprends beaucoup plus que prévu ici.

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